J'ai déplié les pages du Livre
L’ombre s’est faite complice
Juste un murmure
La pierre se souvenait des marées
Et le minimalisme contait
Il disait les âges d’antan
Elle a souri
Devenue prêtresse à cet oracle de jadis
Juste un soupir
Et sourire
Il est des temps d’éternité
Des socles de mystes
L’autel, parfois se révèle au détour du chemin
Se taire alors
Se taire et se dépouiller
…
Ô ! se taire, se taire et se dépouiller
RépondreSupprimeroui, il s'agit bien de cela ... merci
ici et là-bas chère Kaïkan