" Je suis allée au cœur de la nuit aux confins des étendues de sel
Me suis assoupie aux morsures de plage
Là, entre deux eaux, je me suis mise à danser
Sous les pavés, le souvenir grisant d'un pont embrumé
Sur ce tourne-disque éphémère, comme à Ostende,
Une reliquaire d' arc escale
"Terre, terre" , m'as-tu murmuré
...
Mais déjà emportée par la valse lente des songes
Je déclinais tout abordage
Nous avons brandi alors l'étendard des vaisseaux de passage
Et nous avons ri, nous avons ri de plus belle
Et inlassablement, essentiellement, inextricablement
Nous avons épousé le chant des marées à venir
La lune pour nous n'avait plus de secret
Aux parvis des cathédrales, nous nous sommes assoupis ... "
Nous avons parlé d'Ostende, de Léo et Jacques, de Léon aussi et nous avons dansé mon cavalier et moi ...
Comme à Ostende
RépondreSupprimerEt comme partout
je pense
qu'il est utile de vivre sa vie
je suis venue chère Kaikan te parler aussi de Roger
et d'Arno
Un peu de nostalgie devant tant de beauté. Je t'embrasse.
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